Entre Le Télégramme et les festivals bretons, c’est plus qu’une relation événements-média : un véritable compagnonnage. Vieilles Charrues, Bout du monde, Interceltique, Cornouaille : à chaque fois, les rédactions sont largement mobilisées (12 journalistes à temps complet aux dernières Charrues !) pour donner à voir tous les aspects de la fête… et en profiter aussi ! Des journées à rallonge, un travail harassant mais de sacrés souvenirs. Un passage quasi-obligé pour tous les jeunes journalistes.