A partir de 1998, Le Télégramme paraît même le dimanche, une innovation qui lui permet de tester une nouvelle maquette, sur un format plus petit appelé « tabloïd » qui sera étendu en 2002 aux autres jours de la semaine et est encore utilisé aujourd’hui. Il garde ses habitudes de non-parution, limitée à trois jours : le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre, soit un total de 362 éditions par an, 363 les années bissextiles. Sans changer cette règle, le développement du web lui a évidemment permis de compenser ces absences, et il diffuse désormais de l’info, non-stop, tous les jours de l’année.