Au commencement était le « print only », évidemment : toute l’info était diffusée sur papier. Puis débarqua internet, support annexe devenu rapidement enjeu majeur, et la rédaction passa au « web first » : le traitement de l’info était pensé avant tout pour le numérique, et le papier devenait son « best of » (pour rester dans les anglicismes). Aujourd’hui, et comme tous ses confrères, Le Télégramme est « mobile first » : la chaîne de l’info conduit avant tout aux supports mobiles, où sont vues 80% de ses pages.